Maya Ralaizafindrakoto est un activiste dans le domaine de la promotion de l’entrepreneuriat et de la prise de responsabilité des jeunes à Madagascar. Il a fait des études en management des organisations et stratégie à l’université d’Antananarivo, une initiation à la culture entrepreneuriale à l’institut francophone pour l’entrepreneuriat IFE à Maurice, et suivi une formation en «business and entrepreneurship » au « graduate school of business leadership SBL » en Afrique du Sud.
Il a choisi de s’investir dans le domaine de la promotion de l’entrepreneuriat au niveau des jeunes car il est convaincu que la valorisation des ressources humaines et naturelles du pays est la clé du développement. Il est aussi convaincu que les jeunes ne sont pas le futur du pays mais constituent bel et bien le présent. En effet, ce sont les actions qu’ils entreprennent aujourd’hui qui définissent le futur du pays. Pour Maya Ralaizafindrakoto, l’entrepreneuriat est le moteur du développement et les ressources humaines en sont le principal carburant. A Madagascar, nous commençons à donner de la valeur à ce capital humain dont nous disposons en abondance. En effet, il constitue un atout majeur pour le développement de l’entrepreneuriat selon Maya Ralaizanfindrakoto lors d’une intervention qu’il a octroyée au campus Sésame pendant le forum des métiers et des entreprises le Samedi 13 Avril 2019. Lui de continuer que le système de formation et éducatif devrait façonner les jeunes à entreprendre et cela devrait s’ajouter aux choix dans les cursus universitaires.
Pour promouvoir l’entrepreneuriat ainsi que valoriser notre capital humain, la formation professionnelle est parmi les éléments les plus adaptés. En effet, contrairement à la formation académique, la formation professionnelle s’intéresse à des domaines très variés et permet de répondre très rapidement aux demandes pour palier à un manque de compétence ou bien pour commencer dans un tout nouveau domaine. Maya Ralaizafindrakoto de conclure que pour les entrepreneurs qui ont trouvé des opportunités dans des secteurs qu’ils ne maîtrisent pas, la formation professionnelle a été parmi les outils qui les ont aidés à réussir.